L’AMOUR AU LOUVRE-LENS

Le 17 octobre 2018, nous, les latinistes de Seconde, accompagnés des 1M3,  sommes allés au musée du Louvre-Lens pour y voir l’exposition « L’Amour ». Alix, notre guide, nous a expliqué le sens de nombreux tableaux et sculptures allant de l’Antiquité jusqu’à l’époque contemporaine. Parmi les œuvres, ma préférée est Le Verrou. On y voit un homme et une femme mais on ignore la nature de leur relation : l’homme ferme la serrure et on ne sait pas si la femme l’incite à le fermer ou, au contraire, veut l’en empêcher.
Cette exposition est divisée en sept parties qui sont : la séduction, l’adoration, le plaisir, le romantisme, la relation et la liberté. Au chapitre de la liberté figure une sculpture assez étrange qui représente une femme volumineuse couverte d’une multitude d’objets. Quelques œuvres nous ont particulièrement marqués : Le Satyre et la Bacchante, Le Verrou de Jean-Honoré Fragonard et, surtout, Vénus de Niki de Saint-Phalle. 
Après la visite de l’exposition, nous avons participé à une activité demandant de l’imagination. En effet, Alix nous a distribué une photographie d’un tableau et, par groupes de cinq ou six, nous avons dû imaginer une histoire dans laquelle serait inclue la scène représentée sur le tableau. Le tableau de notre groupe (quatre latinistes et une élève de Première) évoquait une demande en mariage : le visage de la femme est peu expressif mais on devine son consentement à la main qu’elle pose sur l’épaule de l’homme.
Le scénario que nous avons imaginé est l’histoire d’un homme qui tombe amoureux d’une fille qui ne l’aime pas jusqu’à ce qu’elle apprenne qu’il est richissime. Elle dit alors « oui » à sa demande en mariage. Nous avons raconté cette histoire à l’aide d’un roman-photo. Cet atelier était amusant à réaliser et nous a fortement plu.
Notre matinée a donc été, à la fois, instructive et plaisante.
Par Paul, Estelle, Laureen, Anaïs

Clap sur les deux premières journées du quatrième échange Franco-Allemand autour de l’Arras Film Festival et du Festival du Film Documentaire pour la Jeunesse de Duisburg – Vendredi 2 et Samedi 3 novembre 2018

La quatrième édition de l’échange Franco- Allemand autour du Cinéma , organisé par l’institut Goethe de Lille et sa directrice Dorothée Ulrich a débuté ce vendredi 2 novembre avec le Festival du Film d’Arras . A peine le groupe de 5 élèves cinéphiles et germanistes constitué d’ Elisa Decobert , Florine Delmotte, Nancy Husson, Lysandre Lefebvre et Clément Rivat, avait-il accueilli à la gare d’Arras les cinq correspondantes allemandes et leurs professeurs arrivés en fin d’après-midi, que la soirée d’ouverture du 19ème Arras Film Festival débutait, avec la projection de Lola et ses frères de Jean – Paul Rouve, en présence de l’équipe du film. A l’issue de la projection, le réalisateur et les principaux acteurs du film, Ludivine Sagnier et Ramzy Bedia ont partagé chaleureusement avec le public leur interprétation du film ainsi que plusieurs anecdotes de tournage. Après une courte nuit, l’ensemble du groupe Franco-Allemand a entamé la deuxième journée de découverte de l’Arras Film Festival avec le visionnement de trois films : Sami, une jeunesse en Laponie, un film suédois d’Amanda Kernell, We need to talk about Kevin de Lynne Ramsay ,et l’Empeur de Paris en avant-première et en présence de l’acteur Vincent Cassel et du réalisateur Jean-François Richet . Une grande partie de la journée a été aussi consacrée à deux ateliers de critique de film animés et dirigés par Frederic Jaeger, journaliste et critique de cinéma berlinois . La soirée s’est terminée tard, comme la précédente, à l’issue de l’avant -première du film consacré à la figure historique de Vidocq.

 Klappe, die vierte – Filmfestival Arras und das doxs! Filmfestival

Filme, Schauspieler, Regisseure, ein professioneller Filmkritiker und ein sonniges Arras – es ist wieder soweit: Freitag Nachmittag gerade noch rechtzeitig angekommen zur Eröffnungsfeier des Filmfestivals Arras konnten wir nach sechs Stunden Fahrt und einem kleinen Snack die Beziehungskomödie „Lola et ses frères“ sehen und das Filmteam um den Regisseur und die Hauptdarsteller kennenlernen.
Bereits das vierte Mal haben Schülerinnen und Schüler der Oberstufe unserer Schule und des Lycée Guy Mollet in Arras die Möglichkeit, sich in einem einwöchigen Filmaustausch über französische, deutsche, englische und schwedische Filme zu unterhalten. Zwischen Filmsichtungen und Schreibwerkstätten, in denen die Schüler sich in den Techniken der Filmkritik üben, bleibt noch etwas Zeit, um bei sonnigem Wetter die Austauschfamilie und die Stadt des Anderen kennenzulernen.
Zoom sur les deux premières journées de l’échange par Lysandre Lefebvre, élève en Première L Spécialité Cinéma – Audiovisuel et Anne Zockoll , élève en 11ème au lycée  den Filder Benden de Duisburg.
Ce que je retiens de ces deux premiers jours consacrés au cinéma, c’est avant tout le visionnement du film We need to talk about Kevin de Lynne Ramsay. Ce film m’a marqué et ému par son histoire, ses personnages charismatiques et aussi étranges. Il raconte l’histoire d’une mère et de son fils, engagés dans une relation fusionnelle qui mêle amour et haine et aboutit à un massacre. C’est un film qui donne matière à penser et à réfléchir … J’ai moins apprécié l’Empeur de Paris de Jean-François Richet , un biopic qui retrace une partie de la vie de Vidocq, originaire d’Arras. Vidocq passe du bagne au pouvoir. C’est un film qui laisse une grande part aux scènes d’action et aussi à l’intrigue policière et amoureuse. En revanche, j’ai beaucoup aimé Sami, une jeunesse en Laponie,  d’Amanda Kernell, qui  met en scène Elle-Marja, une jeune lapone victime du racisme anti-lapon dans la société suédoise des années 30.
 Le visionnement de tous ces films alterne avec des ateliers d’écriture dirigés par M Jaeger, qui nous fait l’honneur de partager avec nous son expérience ainsi que son professionnalisme dans le domaine de la critique de Cinéma. Ces ateliers nous apprennent à formuler notre avis sur les films que nous voyons et à organiser nos arguments afin de rédiger une critique de film pertinente et attractive pour le lecteur.
Heute haben wir drei verschiedene Filme gesehen: „Sami, une jeunesse en Laponie“, „We need to talk about Kevin“ und „L’empereur de Paris“. Drei ziemlich unterschiedliche Filme – mit unterschiedlichem Genre und auf unterschiedlichen Sprachen. Ich selbst fand den Film „We need to talk about Kevin“ am überzeugendsten. Dieser thematisiert das Leben einer Frau, welche nach dem Verlust ihres Mannes und ihrer Tochter ein gestörtes Verhältnis aufweißt. Ebenso handelt der Film von der familiären Geschichte sowie den Erinnerungen und traumatischen Erlebnissen der Frau.
Im Laufe des Tages haben wir auch an der „Schreibwerkstatt“ gearbeitet, in welcher wir uns mit Filmkritik beschäftigt haben. Dabei haben wir mit Titeln und Teasern gearbeitet: sie gelesen, gedeutet 

Des élèves de seconde s’intéressent aux études d’ingénieur

Les élèves de Seconde OUVEA se sont rendus à l’école d’ingénieurs « Mines De Paris » lors d’une sortie pédagogique le 10 octobre.
Après avoir visité la bibliothèque, le musée  de minéralogie et le laboratoire de mécanique de l’école ,  ils ont rencontré des élèves qui ont expliqué leur parcours et leurs perspectives d’avenir. 
L’après-midi,  ils ont traversé quelques quartiers de Paris pour  rejoindre le Palais de la Découverte puis le Musée du Louvre en nocturne. 

Les élèves de la seconde Futuna découvrent le monde de la Justice

Mardi 9 octobre, les élèves de la classe de secondes Futuna ont assisté à une conférence sur la Justice. Pas moins de cinq intervenants étaient venus leur expliquer leur fonction, leur rôle au sein de la chaîne judiciaire mais aussi leur parcours personnel.
Ainsi, Mmes Atchrimi et Briche leur ont exposé les métiers de juge et de procureur en tâchant de montrer la complémentarité de ces deux fonctions ainsi que la variété des missions qui leur incombaient. Elles sont revenues sur leurs formations (toutes deux ont fait un bac ES puis l’école Sciences-Po qu’elles ont intégrée grâce à leur mention très bien au baccalauréat, puis l’Ecole Nationale de Magistrature) en soulignant bien qu’à l’âge des élèves, elles ignoraient absolument ce qu’elles voulaient faire plus tard.
Maître Fichelle a ensuite pris la parole pour présenter le quotidien d’un avocat, les différents aspects de cette fonction, les difficultés mais aussi les satisfactions du métier, en soulignant bien que chaque individu était défendable – ce qui n’a pas manqué de susciter nombre de questions chez les élèves !
Enfin, Mme Marlot, assistée de Mme Allard, a guidé les élèves dans le labyrinthe des acronymes de la Protection Judiciaire des Mineurs, leur montrant l’ampleur et la diversité des sanctions et des mesures éducatives qui pouvaient permettre d’accompagner les jeunes. Elles ont également rappelé que, si le mineur peut être délinquant, il peut aussi être concerné par leurs services lorsqu’il est en danger.
Cette intervention s’inscrivait dans le cadre de la Journée Justice à laquelle participeront les 2ndes Futuna et qui aura lieu à Douai le 29 mars ; lors de celle-ci, entre autres activités, ils revêtiront les robes d’avocat et de magistrat pour se mettre, le temps d’une audience fictive, dans la peau du procureur, de la victime, de l’assesseur, du juge…

L’option langue des signes française

La langue des signes

Le Lycée Guy Mollet vous propose d’apprendre la langue des signes française en langue vivante C, (pour les débutants) à partir de la seconde. Au-delà de l’enrichissement personnel, apprendre la langue des signes française (LSF) est utile car elle est pratiquée en France :

  • Par plusieurs centaines de milliers de personnes sourdes
  • Par les professionnels en contact avec les déficients auditifs, enseignants, orthophonistes, travailleurs sociaux et interprètes spécialisés.

Si vous aimez communiquer, si vous vous intéressez aux autres, si vous voulez posséder un atout supplémentaire sur votre CV, n’hésitez pas à apprendre la langue des signes française !

Les différents axes

Les élèves qui s’inscrivent à l’option n’ont pas d’examen et sont évalués en contrôle continu

Pour les candidats individuels

ÉVALUATIONS PONCTUELLES

Classe de 1ère : Évaluation sur le programme du cycle terminale
Épreuve de langue des signes française de 10min sans préparation.
Le candidat présente à l’examinateur 1 document iconographique (images, dessin, photographie, reproduction d’une oeuvre plastique).
Dans un 1er temps (n’excédant pas 5min), le candidat présente son document en expliquant en quoi il illustre une thématique traitée au cours de l’année.
Dans un second temps (n’excédant pas 5min), l’examinateur engage le candidat à approfondir certains points de son exposé puis élargit l’entretien à des questions plus générales.

ÉVALUATIONS PONCTUELLES

Classe de terminale : Évaluation sur le programme du cycle terminale
Épreuve de langue des signes française de 10min sans préparation.
Le dossier, apporté par le candidat, est composé de deux documents portant sur le thème : 2 documents iconographiques (images, dessin, photographie, reproduction d’une oeuvre plastique).
Dans un 1er temps (n’excédant pas 5min), le candidat présente son dossier en expliquant en quoi il illustre une thématique traitée au cours de l’année.
Dans un second temps (n’excédant pas 5min), l’examinateur engage le candidat à approfondir certains points de son exposé puis élargit l’entretien à des questions plus générales.

LES OPTIONS
Tous les candidats peuvent présenter des options au bac GT.
On passe de 1/10ème des 10% de contrôle continu issu des notes de bulletins
-> à désormais, 2% par année suivie.
S’ajoutent au coefficient 100 des enseignements obligatoires.
Voie technologique :
maxima 2 options en 1ère + 2 options en Terminale = note finale sur 108.
Voie générale :
Maxime 1 option + latin et grec en 1ère + 2 options + latin et grec en terminale =
note finale sur 114.

Programme de Langue des Signes Française, langue seconde de seconde, première et terminale des voies générales et technologiques, enseignement optionnel

La politesse en LSF