Clap sur la cinquième journée du quatrième échange franco-allemand autour du cinéma

Aujourd’hui, notre journée commença par le visionage de nos premiers films du programme Doxs!: The World is round so that nobody can hide in the corners et Obon. Nous avons ensuite pris le train pour Essen et sommes allés mager à la mairie avant de monter au dernier étage de celle-ci. Nous pouvions alors voir toute la ville et le premier adjoint du maire nous a raconté l’histoire de la ville. Elle fut fondé autour d’une église et d’un couvent et fut dirigée par des abesses pendant plusieurs années. A l’aube du XXe siècle, on y exploita le charbon. La ville devant se reconvertit suite à la crise de ces secteurs, elle s’est développé dans les secteurs de l’energie et des services. Elle fut désignée Capitale de la culture européenne et la capitale verte de l’Europe.
Nous avons ensuite pris la route du centre franco-allemand de Essen où nous avons suivi notre quatrième atelier d’écriture avant de reprendre le train vers Moers en fin de journée.
Nancy Husson
Mittwoch, 08.11.
Nach der langen Zugfahrt am Dienstag fing am Mittwoch erstmals unser Programm in Deutschland an. Nachdem wir uns die Filme, darunter die zwei Kurzfilme  ,,The world is round so that nobody can hide in the corners » und ,,Obon » und den spielfilmlangen Film ,,Premiere Soliture » geguckt haben, sind wir zum Essener Rathaus gegangen. Zusätzlich zu der Rede eines Essener Bürgermeisters hatten wir eine unglaublich gute Aussicht über ganz Essen. Genauso wie der Ausblick aus dem Rathaus war auch der restliche Austausch schön und eine tolle Erfahrung, an dem ich froh bin teilgenommen zu haben.
Rieke Stopka

Au lycée Guy Mollet, 500 élèves Commémorent le Centenaire et la Paix

A l’initiative de plusieurs enseignants, le lycée Guy-Mollet d’Arras a organisé ce jeudi 8 novembre 2018 à 17h, un rassemblement commémoratif avec ses lycéens.



Pour cette occasion, 500 élèves et étudiants, de la seconde au bac+3, se sont rassemblés pour une cérémonie de commémoration du centenaire de l’armistice et pour la paix. Pour l’occasion, une délégation composée de collégiens indiens du lycée Mayo d’Ajmer (Rajasthan) étaient présents ainsi que des jeunes canadiens et néo-zélandais.

Par ce geste, les élèves voulaient rendre hommage aux soldats de toutes nationalités morts lors du conflit mondial.


La cérémonie a débuté par la lecture, par des élèves, de témoignages, lettres, articles et poèmes de soldats en plusieurs langues. Puis le le Northern Men Pipe Band a interprété « Amazing Grace ».


Aux représentants des associations patriotiques, ont été remises des lettres imaginaires sur papier vieilli, de soldats anglophones, composées par des élèves du lycée, relatant la vie dans les tranchées. Puis la cérémonie s’est poursuivie par la lecture de deux lettres de soldats indiens en français, en anglais et en hindi par des élèves du lycée Guy-Mollet et du lycée Mayo d’Ajmer.

Une chanson contre la guerre, rendue célèbre par Marlene Dietrich « Sag Mir Wo Die Blumen Sind » (que sont devenues les fleurs) a ensuite été interprétée en 10 langues par les élèves du lycée Guy-Mollet, du lycée Mayo, par de jeunes Néo-Zélandais, par une jeune élève italienne et par une jeune élève thaïlandaise, en français, anglais, espagnol, italien, hindi, maori, allemand, langue des signes, bengali et thaïlandais.
La cérémonie s’est terminée par « The Last Post » (sonnerie aux Morts anglaise), deux minutes de silence et « La Marseillaise », chantée a capella.

Pour l’occasion, certains lycéens et professeurs ont sorti leurs instruments de musique pour se joindre aux musiciens, rompant ainsi les barrières hiérarchiques qui les séparent, alors que l’établissement ne propose pas d’enseignement musical à ses élèves.


Symbole d’une volonté de 600 jeunes de consolider la Mémoire, la Paix et l’Unité, cette cérémonie extrêmement émouvante s’est déroulée en présence d’officiels de la Ville d’Arras, de représentants de sociétés patriotiques et historiques, et de Madame Lili Leignel, déportée et rescapée des camps nazis.



Photos : Agathe langlet

Le témoignage poignant de Lili Leignel a ému 600 collégiens et lycéens

Six cents élèves du lycée Robespierre et du lycée Guy Mollet accompagnés de classes de quatre collèges invités pour l’occasion, ont assisté avec grande attention ce jeudi 8 novembre 2018 à une conférence qu’ils n’oublieront pas de sitôt à la salle des orfèvres et des tisserands. Lili Leignel, rescapée des camps de concentration nazis, est venue leur raconter l’horreur de son parcours, pour que ça ne se reproduise plus jamais.



 

C’est dans le cadre de leur préparation au Concours National de la Résistance et de la Déportation que 600 élèves de troisième, première et terminale ont assisté à ce témoignage poignant organisé en partenariat avec la ville d’Arras. C’est la première fois que Madame Leignel intervenait devant une assistance si nombreuse.

Les directions des deux lycées ont organisé cette rencontre avec des professeurs d’histoire-géographie et de lettres impliqués dans le devoir d’histoire et de mémoire, pour que les élèves comprennent l’horreur de ces pages d’histoire, et transmettent à leur tour le message pour les générations à venir.





Jusque l’âge de onze ans, Lili Leignel a vécu une enfance heureuse à Roubaix, au côté de ses parents et de ses deux petits frères. Le 27 octobre 1943, Lili  a basculé dans l’indicible. Déportée avec sa maman et ses frères à Ravensbrück, puis à Bergen Belsen au terme d’un voyage inhumain, séparée de son papa qu’elle ne reverra jamais, Lili Leignel a pourtant tout raconté ce jeudi devant ce jeune public qu’elle affectionne tant. Car soixante quinze ans après les événements, ses souvenirs sont intacts.

Elle a raconté la peur, la faim, le froid, les privations, les humiliations, les maladies : «  Nous n’étions plus des enfants, seulement des numéros…  ».

Affaiblie mais sauvée, Lili Leignel est rentrée en France en 1945, avec ses deux frères. Malade, sa maman n’a pu rentrer que des semaines plus tard, alors que les enfants avaient été transférés de foyer en maison de convalescence. Puis ils sont rentrés à Roubaix dans leur maison qui avait été totalement pillée…





Dans son récit maintes fois répété devant presque deux cent mille élèves depuis quarante ans, Lili Leignel a tenu à insérer des notes d’espoir, des signes d’humanité, de l’humour et aussi quelques chansons. De ce témoignage, on retiendra l’Histoire bien sûr, mais aussi l’immense dignité d’une femme de 86 ans qui a connu le pire et qui n’a conservé aucune haine au fond du cœur.

Les 600 jeunes, abasourdis d’entendre une femme si énergique malgré son grand age, et qui les a tenus en haleine pendant 1h20, l’ont longuement ovationné, avant de lui témoigner de réelles marques d’affection et de sympathie.

Clap sur le 4ème jour du 19ème échange Franco-Allemand autour du cinéma

Ce lundi 5 novembre, nous avons regardé, à 9h, un reportage du festival DOXS de Duisburg, „The best thing you can do with your life », réalisé par Zita Erffa en 2015. Elle a réalisé ce film après le choix que son frère a fait de rejoindre les Légionnaires du Christ, un ordre religieux très stricte, pour montrer comment les journées de son frère, devenu prêtre, étaient organisées et pour se rapprocher de lui après 8 ans sans se voir, nous avons par la suite échangé avec la soeur de Zita, laquelle ne pouvait pas être présente. Par la suite, et après avoir déjeuné au festival, nous avons fait une petite visite d´Arras avec les élèves allemands. A 15h, nous avons eu un atelier d´écriture, le dernier a Arras, dans lequel Frédéric Jaeger nous a fait écrire une critique sur le film, du festival, de notre choix.

Nous avons, à 19h, regardé „Funan », réalisé par Denis Do et inspiré de son histoire familiale, au Cambodge en 1975, ou plutôt de l´incroyable aventure remplie de malheurs et de misères qu´ont vécus les parents de Denis Do ainsi que son frère: une aventure qui les aura marqués pour toujours. Le film qui m´a le plus marqué en ce 5 novembre est „Funan », de Denis Do, et la chose qui m´a particulièrement plu est l´histoire émouvante de ce film. Cependant, dans ce film, je n´ai pas vraiment aimé les dessins, je n´ai pas trouvé les graphismes très fluides.
(Clément Rivat)

Heute  ist der letzte Tag in Arras. Es ist ein bisschen komisch, dass die Zeit so schnell vorbei gegangen ist. Wir haben heute morgen den Tag mit dem Film ,,The Best Thing You Can Do In Your Life », der um die Beziehung von Zita Erffa (Regisseurin/Drehbuchautorin) und ihrem Bruder László handelt, begonnen. Das Besondere daran ist, dass László bei den Legionären Christi, einer Gruppe Gläubiger, die zu Priestern ausgebildet werden, beigetreten ist. Das Interview mit Constanza Erffa, die jüngste Schwester von László und Zita, direkt nach dem Film war wirklich toll, da man Fragen, die einem noch im Kopf schwirrten, aus einer ganz anderen Perspektive beantwortet bekommen hat.
Danach haben wir wie immer im Festivalzelt gegessen und die Stadt erkundet. Leider sind montags viele Läden in Frankreich geschlossen, aber ein paar von uns Austauschschülern waren am Abend noch auf dem Riesenrad auf dem Hauptplatz. Vorher haben wir aber noch eine komplette Filmkritik in der „Schreibwerkstatt » über einen der bisher sieben Filme geschrieben haben. Der 8. Film folgte auch gleich darauf: ,,Funan », ein beeindruckender Animationsfilm über den Vietnamkrieg und eine Familie mittendrin. Dieser Film wird mir noch lange im Gedächtnis bleiben wegen der Geschichte, die einen berührt hat und der nahezu einfachen zeichnerischen Animation. Später essen wir noch Abendessen und danach heißt es Koffer packen, morgen geht es zurück nach Moers.
(Marit Ueltgesforth)

L’AMOUR AU LOUVRE-LENS

Le 17 octobre 2018, nous, les latinistes de Seconde, accompagnés des 1M3,  sommes allés au musée du Louvre-Lens pour y voir l’exposition « L’Amour ». Alix, notre guide, nous a expliqué le sens de nombreux tableaux et sculptures allant de l’Antiquité jusqu’à l’époque contemporaine. Parmi les œuvres, ma préférée est Le Verrou. On y voit un homme et une femme mais on ignore la nature de leur relation : l’homme ferme la serrure et on ne sait pas si la femme l’incite à le fermer ou, au contraire, veut l’en empêcher.
Cette exposition est divisée en sept parties qui sont : la séduction, l’adoration, le plaisir, le romantisme, la relation et la liberté. Au chapitre de la liberté figure une sculpture assez étrange qui représente une femme volumineuse couverte d’une multitude d’objets. Quelques œuvres nous ont particulièrement marqués : Le Satyre et la Bacchante, Le Verrou de Jean-Honoré Fragonard et, surtout, Vénus de Niki de Saint-Phalle. 
Après la visite de l’exposition, nous avons participé à une activité demandant de l’imagination. En effet, Alix nous a distribué une photographie d’un tableau et, par groupes de cinq ou six, nous avons dû imaginer une histoire dans laquelle serait inclue la scène représentée sur le tableau. Le tableau de notre groupe (quatre latinistes et une élève de Première) évoquait une demande en mariage : le visage de la femme est peu expressif mais on devine son consentement à la main qu’elle pose sur l’épaule de l’homme.
Le scénario que nous avons imaginé est l’histoire d’un homme qui tombe amoureux d’une fille qui ne l’aime pas jusqu’à ce qu’elle apprenne qu’il est richissime. Elle dit alors « oui » à sa demande en mariage. Nous avons raconté cette histoire à l’aide d’un roman-photo. Cet atelier était amusant à réaliser et nous a fortement plu.
Notre matinée a donc été, à la fois, instructive et plaisante.
Par Paul, Estelle, Laureen, Anaïs

Clap sur les deux premières journées du quatrième échange Franco-Allemand autour de l’Arras Film Festival et du Festival du Film Documentaire pour la Jeunesse de Duisburg – Vendredi 2 et Samedi 3 novembre 2018

La quatrième édition de l’échange Franco- Allemand autour du Cinéma , organisé par l’institut Goethe de Lille et sa directrice Dorothée Ulrich a débuté ce vendredi 2 novembre avec le Festival du Film d’Arras . A peine le groupe de 5 élèves cinéphiles et germanistes constitué d’ Elisa Decobert , Florine Delmotte, Nancy Husson, Lysandre Lefebvre et Clément Rivat, avait-il accueilli à la gare d’Arras les cinq correspondantes allemandes et leurs professeurs arrivés en fin d’après-midi, que la soirée d’ouverture du 19ème Arras Film Festival débutait, avec la projection de Lola et ses frères de Jean – Paul Rouve, en présence de l’équipe du film. A l’issue de la projection, le réalisateur et les principaux acteurs du film, Ludivine Sagnier et Ramzy Bedia ont partagé chaleureusement avec le public leur interprétation du film ainsi que plusieurs anecdotes de tournage. Après une courte nuit, l’ensemble du groupe Franco-Allemand a entamé la deuxième journée de découverte de l’Arras Film Festival avec le visionnement de trois films : Sami, une jeunesse en Laponie, un film suédois d’Amanda Kernell, We need to talk about Kevin de Lynne Ramsay ,et l’Empeur de Paris en avant-première et en présence de l’acteur Vincent Cassel et du réalisateur Jean-François Richet . Une grande partie de la journée a été aussi consacrée à deux ateliers de critique de film animés et dirigés par Frederic Jaeger, journaliste et critique de cinéma berlinois . La soirée s’est terminée tard, comme la précédente, à l’issue de l’avant -première du film consacré à la figure historique de Vidocq.

 Klappe, die vierte – Filmfestival Arras und das doxs! Filmfestival

Filme, Schauspieler, Regisseure, ein professioneller Filmkritiker und ein sonniges Arras – es ist wieder soweit: Freitag Nachmittag gerade noch rechtzeitig angekommen zur Eröffnungsfeier des Filmfestivals Arras konnten wir nach sechs Stunden Fahrt und einem kleinen Snack die Beziehungskomödie „Lola et ses frères“ sehen und das Filmteam um den Regisseur und die Hauptdarsteller kennenlernen.
Bereits das vierte Mal haben Schülerinnen und Schüler der Oberstufe unserer Schule und des Lycée Guy Mollet in Arras die Möglichkeit, sich in einem einwöchigen Filmaustausch über französische, deutsche, englische und schwedische Filme zu unterhalten. Zwischen Filmsichtungen und Schreibwerkstätten, in denen die Schüler sich in den Techniken der Filmkritik üben, bleibt noch etwas Zeit, um bei sonnigem Wetter die Austauschfamilie und die Stadt des Anderen kennenzulernen.
Zoom sur les deux premières journées de l’échange par Lysandre Lefebvre, élève en Première L Spécialité Cinéma – Audiovisuel et Anne Zockoll , élève en 11ème au lycée  den Filder Benden de Duisburg.
Ce que je retiens de ces deux premiers jours consacrés au cinéma, c’est avant tout le visionnement du film We need to talk about Kevin de Lynne Ramsay. Ce film m’a marqué et ému par son histoire, ses personnages charismatiques et aussi étranges. Il raconte l’histoire d’une mère et de son fils, engagés dans une relation fusionnelle qui mêle amour et haine et aboutit à un massacre. C’est un film qui donne matière à penser et à réfléchir … J’ai moins apprécié l’Empeur de Paris de Jean-François Richet , un biopic qui retrace une partie de la vie de Vidocq, originaire d’Arras. Vidocq passe du bagne au pouvoir. C’est un film qui laisse une grande part aux scènes d’action et aussi à l’intrigue policière et amoureuse. En revanche, j’ai beaucoup aimé Sami, une jeunesse en Laponie,  d’Amanda Kernell, qui  met en scène Elle-Marja, une jeune lapone victime du racisme anti-lapon dans la société suédoise des années 30.
 Le visionnement de tous ces films alterne avec des ateliers d’écriture dirigés par M Jaeger, qui nous fait l’honneur de partager avec nous son expérience ainsi que son professionnalisme dans le domaine de la critique de Cinéma. Ces ateliers nous apprennent à formuler notre avis sur les films que nous voyons et à organiser nos arguments afin de rédiger une critique de film pertinente et attractive pour le lecteur.
Heute haben wir drei verschiedene Filme gesehen: „Sami, une jeunesse en Laponie“, „We need to talk about Kevin“ und „L’empereur de Paris“. Drei ziemlich unterschiedliche Filme – mit unterschiedlichem Genre und auf unterschiedlichen Sprachen. Ich selbst fand den Film „We need to talk about Kevin“ am überzeugendsten. Dieser thematisiert das Leben einer Frau, welche nach dem Verlust ihres Mannes und ihrer Tochter ein gestörtes Verhältnis aufweißt. Ebenso handelt der Film von der familiären Geschichte sowie den Erinnerungen und traumatischen Erlebnissen der Frau.
Im Laufe des Tages haben wir auch an der „Schreibwerkstatt“ gearbeitet, in welcher wir uns mit Filmkritik beschäftigt haben. Dabei haben wir mit Titeln und Teasern gearbeitet: sie gelesen, gedeutet 

Des élèves de seconde s’intéressent aux études d’ingénieur

Les élèves de Seconde OUVEA se sont rendus à l’école d’ingénieurs « Mines De Paris » lors d’une sortie pédagogique le 10 octobre.
Après avoir visité la bibliothèque, le musée  de minéralogie et le laboratoire de mécanique de l’école ,  ils ont rencontré des élèves qui ont expliqué leur parcours et leurs perspectives d’avenir. 
L’après-midi,  ils ont traversé quelques quartiers de Paris pour  rejoindre le Palais de la Découverte puis le Musée du Louvre en nocturne. 

Les élèves de la seconde Futuna découvrent le monde de la Justice

Mardi 9 octobre, les élèves de la classe de secondes Futuna ont assisté à une conférence sur la Justice. Pas moins de cinq intervenants étaient venus leur expliquer leur fonction, leur rôle au sein de la chaîne judiciaire mais aussi leur parcours personnel.
Ainsi, Mmes Atchrimi et Briche leur ont exposé les métiers de juge et de procureur en tâchant de montrer la complémentarité de ces deux fonctions ainsi que la variété des missions qui leur incombaient. Elles sont revenues sur leurs formations (toutes deux ont fait un bac ES puis l’école Sciences-Po qu’elles ont intégrée grâce à leur mention très bien au baccalauréat, puis l’Ecole Nationale de Magistrature) en soulignant bien qu’à l’âge des élèves, elles ignoraient absolument ce qu’elles voulaient faire plus tard.
Maître Fichelle a ensuite pris la parole pour présenter le quotidien d’un avocat, les différents aspects de cette fonction, les difficultés mais aussi les satisfactions du métier, en soulignant bien que chaque individu était défendable – ce qui n’a pas manqué de susciter nombre de questions chez les élèves !
Enfin, Mme Marlot, assistée de Mme Allard, a guidé les élèves dans le labyrinthe des acronymes de la Protection Judiciaire des Mineurs, leur montrant l’ampleur et la diversité des sanctions et des mesures éducatives qui pouvaient permettre d’accompagner les jeunes. Elles ont également rappelé que, si le mineur peut être délinquant, il peut aussi être concerné par leurs services lorsqu’il est en danger.
Cette intervention s’inscrivait dans le cadre de la Journée Justice à laquelle participeront les 2ndes Futuna et qui aura lieu à Douai le 29 mars ; lors de celle-ci, entre autres activités, ils revêtiront les robes d’avocat et de magistrat pour se mettre, le temps d’une audience fictive, dans la peau du procureur, de la victime, de l’assesseur, du juge…